Contrebrassens

Voix et contrebasse : Pauline Dupuy
Banjo, toy piano et cloches : Michael Wookey
Trombone (en novembre) : Franck Boyron
Trompette, bugle (en novembre) : Frédéric Roudet

Brassens au féminin

Pauline Dupuy nous fait redécouvrir Brassens sous un éclairage neuf. Révélant la saveur musicale de ses mélodies et la profondeur de ses textes, elle nous promène dans des histoires choisies autour de la femme…

Après avoir roulé sa bosse seule avec sa contrebasse, la chanteuse s'entoure à présent de complices invités à nourrir Contrebrassens. L'univers fantasque et surprenant de Michael Wookey, la délicieuse fantaisie des cuivres Art Deko se marient avec merveille et justesse à la douceur et la sobriété de la contrebassiste.

Contrebrassens se joue en duo ou en quartet (les 1er, 2, 8, 9, 15, 16, 29 et 30 novembre).

Genre : Concert / Danse

Horaires

Du 21 septembre au 28 décembre 2020

Affiche

Vidéos

Presse

Pauline Dupuy redévoile la profondeur de textes magnifiques et met très en valeur toute leur humanité.

— Marie-Catherine Mardi, Télérama TTT

Pauline Dupuy est depuis devenue, malgré le nombre de postulants, l’une des plus grands interprètes de Brassens. Tant que c’en est simplement bouleversant.

— Michel Kemper, Nos Enchanteurs

Un pari audacieux relevé haut la main par une artiste étonnante (…) Avec talent et fraîcheur. Avec respect et malice. Avec féminité. Et la surprise est magistrale.

— Karine Prost, Rue du Théâtre

Une espièglerie en résonance avec la tendre insolence de Brassens.

L’Humanité

Pauline Dupuy réussit le petit prodige de nous faire entendre Brassens d’une oreille neuve.

Le Télégramme

Le Brassens de Pauline coule comme de l’eau de source, s’interroge sur sa misogynie, sur son rapport à la liberté et sur ses rythmes et ses mélodies.

France Culture

Il est quasiment impossible de « faire l’unanimité » dans le domaine des interprètes brasséniens. Pauline l’a fait.

— Jean-Marc Dermesropian, La revue les amis de Georges